© Photos Yannick Vigouroux,
« Lozère, 9 janvier
2015 »
Peu adepte du systématisme, des protocoles programmatiques, malgré tout, envoûté par le paysage de la montagne à travers la fenêtre (motif canonique et inépuisable de l’histoire de l’art) de ma retraite lozérienne, je décide de photographier chaque matin (et peut-être chaque soir le coucher?), le lever du soleil, sans pour autant adopter le même cadrage. Il a gelé cette nuit et la lumière frileuse émerge doucement des courbes flous des collines encore ensommeillées.
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