© Photos Bruno Debon
A
l'occasion de l'entretien dirigé par Fabien Ribery sur son très bon
blog « L'intervalle », qui parle de Foto Povera et des
histoires de la photographie publiées aux Nouvelles éditions Scala
avec Christian Gatinoni
(https://lintervalle.blog/2020/06/15/foto-povera-la-photographie-et-lenfance-de-lart-par-yannick-vigouroux-jean-marie-baldner-et-christian-gattinoni/
), Bruno Debon, qui a participé au collectif de nombreuses fois depuis 2005, m'a envoyé ce texte et
ces images réalisées récemment au smartphone...
©
Photo Bruno Debon
« Perles
et poussières en élevage sous un pin face à la mer
Foto
Povera pour moi c’est d’abord une aventure éclairée par Yannick
épaulé tour à tour par Jean Marie Baldner, satellisé par les
éditeurs et revue critique et numérique.
C’est avant tout une énergie créative qui procède encore en soustraction positive.
C’est avant tout une énergie créative qui procède encore en soustraction positive.
© Photos Bruno Debon
Une
poésie lumineuse qui dérive plus qu’elle ne drague pour
recueillir écumes et pollens plutôt que catalogue et cimaises des
grands musées !
Nos kouroīs sont des soldats de papiers comme ce tronc d’eucalyptus amputé et gisant sur ce trottoir d’ Ermiioni en Grèce.
L’effondrement des Vanités nous oblige à la reprise du souffle que je crois foto Povera incarne toujours...
Naviguons encore les amis ! »
Nos kouroīs sont des soldats de papiers comme ce tronc d’eucalyptus amputé et gisant sur ce trottoir d’ Ermiioni en Grèce.
L’effondrement des Vanités nous oblige à la reprise du souffle que je crois foto Povera incarne toujours...
Naviguons encore les amis ! »
© Photos Bruno Debon
Bruno Debon n'a pas de site internet consacré à ses photographies, hélas, mais sur ce paysan-photographe producteur de pommes bio et viticulteur dans le Var, on peut lire par exemple cet article (à propos de cette dernière activité) :