© Photo Yannick Vigouroux,
« Nîmes-Mende, 8
janvier 2015 »
A travers la fenêtre du TER bleu, je photographie la
confusion des ramures dénudées des arbres qui balbutient un ballet flou, un
enchevêtrement qui semble obéir à une logique secrète que je tente de
déchiffrer. Les pointes des branchages comme les ramifications me font penser
aux terminaisons sensibles de l’être, qui vibreraient à l’infini. Est-ce la
même sève qui coule en nous ? Surgissent soudain les premières plaques de
neige après avoir traversé les Cévennes. Le mont Lozère approche…
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