© Photos Yannick Vigouroux
Le corps refusant l’abandon complet et ne consentant que brièvement à la pose qui est aussi une pause. Le visage qui s’offre et qui résiste à la fois au regard prédateur du portraitiste ; dans la quasi obscurité la main comme protection, barrière à cette entreprise…
J’ai cru longtemps
ces précieux Fuji instax Square Monochromes égarés et je viens,
en cherchant des images de littoral pour une exposition, de les
retrouver dans un de mes innombrables albums.
Si la photographie
est un un medium encore relativement jeune, il y a quelque chose d'opiniâtrement rituel et sacré qui remonte à la nuit des temps dans le
portrait.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire