Je me réveille souvent en sueur après avoir abandonné dans mes rêves des paysages de bord de mer, et des portraits.
Que je ne retrouverai jamais.
Ce manque cruel, cette écriture en creux qui me broie le corps, le malaxe, m'arrache les dents...
Sur les cils (qu'on m'a souvent décrit comme "féminins") de mes yeux au matin des croûtes infâmes dues à la transpiration en ce moment.
L'espoir est dans le bleu, et les horizons littoraux retrouvés.
Continuer à écrire, faire des photos...
Continuer à écrire, faire des photos...
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