« A l’ère de la virtualisation
généralisée du réel, de la multiplication exponentielle des
images produites par des I-phones et autres smartphones, le film
instantané, quelle que soit sa forme, marque, possède plus que
jamais la force et la fragilité de l’objet unique : une légère
épaisseur, une présence qui est celle d’une matérialité et
fragilité (sa surface se raye si facilement) retrouvées. »
(Yannick Vigouroux)
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